La coalition guinéenne pour la cour pénale internationale (CGCPI) a officiellement lancé ses activités du projet pour une réforme législative respectueuse des libertés de réunion et d’association en Guinée. C’est à travers une déclaration rendue publique ce samedi 22 juin 2024 à la maison de la presse sise à la minière, que le Réseau Guinéen pour un Espace Civique Ouvert, en abrégé (REGECO) a dévoilé les objectifs du réseau.
“Le Réseau Guinéen pour un Espace Civique Ouvert a pour objectifs principaux Contribuer à l’amélioration des instruments juridiques relatifs à la liberté de réunion, d’association et d’expression, de Promouvoir le respect des libertés de réunion, d’association et d’expression, d’œuvrer pour la formation et l’amélioration des conditions de vie et de travail de tous les acteurs impliqués dans le cadre de la liberté de réunion, d’association et d’expression”, a fait savoir Kemoko Malick Diakité.
Selon ce réseau, c’est avec l’appui financier de l’ONG Freedom House que le REGECO a réuni autour de lui, des organisations et associations de défense des Droits de l’Homme, des organisations syndicales et de regroupements de partis politiques précisément, la Coalition Guinéen pour la Cour Pénale Internationale, L’Association des Magistrats de Guinée, le Barreau de Guinée, les Droits pour Tous, la Plateforme des Citoyens Unis pour le Développement, Avocats Sans Frontières, Le Syndicat de la Presse Privée de Guinée, Le Forum National des Jeunes des Partis Politiques de Guinée, la Ligue Guinéenne des Droits de l’Homme, L’association des Blogueurs de Guinée, la Confédération Nationale des Travailleurs de Guinée, l’Union Syndicale des Travailleurs de Guinée, Le Cadre de Concertation des Femmes et Filles des Partis Politiques.
François Lelano pour investigatorguinee.com 621498176