Ils sont au total 2627candidats, dont 1578 femmes tous profils confondus repartis dans sept (7) centres d’examen, dont cinq(5) dans la commune urbaine de kankan, un à Siguiri et un à Mandiana a abordé les épreuves des examens de sortie session 2023-2024 au compte du ministère de l’enseignement technique de la formation professionnelle et de l’emploi. Le lancement des épreuves a eu lieu ce lundi 3 juin dans la salle N°4 de l’école normale d’instututeur.
Aly kaké inspecteur régional de l’enseignement technique revient sur cette organisation. “Ce lundi 3 juin nous lançons effectivement les épreuves des examens de sortie 2024. Pour la région, nous avons pu organiser sept centres d’examen, dont cinq à kankan, un à Siguiri et un à Mandiana pour une effectif total de 2627candidats dont 1578 femmes. Chaque année c’est la même chose.Tolérence zéro effectivement. Je crois avant l’arrivée des anomalies, il faut prévoir. Dans l’organisation nous avons pu rencontrer les candidats, les surveillants toutes les dispositions du règlement généraux des examens ont été définis, passer paragraphe par paragraphe, les conseils ont suivi donc nous nous avons donné tous les points pour nous permettre d’éviter les fraudes. Ce matin l’ensemble des surveillants au nombre de 206 sont là. Il y a deux surveillants par salle et les candidats sont un par table malgré l’effectif.
Pour nous, tout a bien commencé, nous espérons que tout ira bien. C’est le directeur de cabinet qui a lancé les épreuves au nom de l’autorité régionale Aboubacar Tounkara.
Moi je suis là pour représenter le gouverneur empêché à l’occasion du lancement des épreuves des examens de sortie des écoles professionnelles. Le message aux candidats C’est d’aborder les sujets avec sérénité. Par ce qu’on ne va pas leur demander quelques choses qu’ils n’ont pas pas eu à faire pendant leur cursus de formation. Depuis qu’ils ont commencé a être à l’école, ils ont été toujours évalués de façon permanente. Donc je les ai féliciter pour le parcours qu’ils ont eu à faire et qui a abouti à leur présence aujourd’hui dans les salles d’examen. Je les ai demandé d’être serein, d’aborder les sujets avec sérénité, de ne pas être pris de panique pour pouvoir traiter les sujets conséquemment.
Surtout qu’ils réussissent tous à l’examen de sortie parce qu’on a besoin d’eux pour le développement de notre pays. Avant on ne formait que des cadres supérieurs qui coûtent chers à l’Etat. Le marché de l’emploi est difficile qu’on prenne un cadre supérieur par ce qu’il coûte cher, mais avec les techniciens qu’on est entrain de former au niveau des écoles professionnelles, c’est avec eux on a entamé des processus de développement, c’est avec eux qu’on va continuer”, a-t-il lancé.
Kankan, Laye Famo Condé pour investigatorguinee.com