SI CE N’EST PAS PAR ERREUR DE LANGAGE, “LA PRESSE, LES COMMUNICANTS ET LES AUTRES GUINÉENS LE FONT PEUT-ÊTRE PAR INATTENTION.
« Appeler “LEADER ” certains Présidents de Parti Politique en Guinée serait une inattention ou une ERREUR DE LANGAGE qui nécessite une correction » MOLAC.
– Ne pas le corriger, serait une façon de trahir et de désinformer le peuple de Guinée en général et leurs militants en particulier.
– Ne pas le corriger, serait une méconnaissance de la différence entre un manager ou un chef et un leader.
– Ne pas le corriger, serait une forme inappropriée de communiquer comme le font beaucoup de personnes qui se hasardent à placer en Guinée certains hauts fonctionnaires de l’ETAT et Directeurs au rang d’excellence. C’est absurde.
LES VRAIS LEADERS, CE SONT CES MILITANTS DYNAMIQUES QUI SONT SOUVENT EXPLOITÉS ET À CAUSE DESQUELS PLUSIEURS AUTRES MILITANTS RESTENT FIDÈLES AU PARTI. Faut-il s’en réjouir ou la redouter ?
JE M’EXPLIQUE : Je soutiens mon affirmation par trois principes du leadership parmi une vingtaine.
1- Un leader dit toujours allons-y et un chef dit allez-y.
Si les chefs occupent des fonctions où ils sont les responsables des équipes et de gens qui travaillent pour eux, à l’inverse, le leader est suivi, respecté et admiré grâce à ce qu’il accomplit par sa vision et par ses idées.
2- De sa naissance à son évolution un leader l’est très généralement de façon naturelle. Cependant on le devient très difficilement de façon artificielle.
Le leadership doit être en nous. On ne s’autoproclame pas leader comme dans bon nombre de partis politiques. On est réclamé à la tête d’un parti politique pour conduire sa destinée.
3- Même si tous les Présidents de la République et les Présidents des partis politiques guinéens qui sont passés ne l’ont pas fait, un vrai leader est un meneur d’hommes. Il prépare sa succession. Je m’inscris dans l’esprit de la dernière phrase du 2ème principe. Faut-il rappeler qu’après son temps, il sort du cercle des combats politiques ? Il doit être dès lors, le coach de son successeur dans l’intérêt supérieur du parti et de la nation. Cela lui fera graver éternellement dans la mémoire de ses militants. Il a eu à faire des fautes et erreurs de gestion que son successeur ne doit pas emboîter. Le vrai leader ne s’impose pas en tant que dirigeant. Il construit sa notoriété au sein du groupe grâce à ses réalisations et ses initiatives. Il sert d’exemple et utilise alors tous les moyens légaux et possibles pour y arriver.
J’ASSUME L’ENTIÈRETÉ DE MES PROPOS.
– Vive le SANAKOUYAH (cousinage à plaisanterie) pour que vive les libertés d’expression et d’opinion. Sinon, personne n’osera mettre du sable dans l’akiekè de son prochain. Rions un peu.