C’est presque devenu une coutume dans les écoles guinéennes, à chaque année scolaire, il suffit juste de faire le tour de certaines écoles pour constater des élèves, derrière des cours de l’école entrain de manipuler les téléphones ou masser pour parler de leurs vies, pedat que les eseignants dispensent des cours.
Outre le fiasco enregistré cette année aux différents examens nationaux, le phénomène perdure sous le regard impuissant du département de tutelle. “je reconnais que l’école buissionnière n’est pas bonne, mais dès fois on le fait malgré nous. Je suis logé loin de mon école, je me lève à 5h pour faire les activités de la maison et je bouge à la maison à 6h 40mn ou 45mn, mais je peut arriver à l’école à 8h 30mn. Tout simplement il y a beaucoup d’embouteillages sur tous les deux voies sur l’auto- route fidèle Castro qui est à la base d’ailleurs de beaucoup d’accidents. Cependant, on ferme l’école à 8h 00mn, donc nous sommes obligés de rester derrière la cours de l’école pour attendre à 10h, heure de la récréation pour avoir accès aux cours à 10h 15mn. Moi personnellement je regrette quand je perds un cours”, regrette Fatoumata camara, élève de la TSS2 terminale sciences sociale 2, dans un établissement de la place.
Aboubacar sidiki Dillo lui reconnaît que la faute n’est pas à l’Etat, ni aux parents, mais plutôt à eux même élèves. “Moi, même si je viens à l’heure et que je sois en classe, si l’explication de l’enseignant ne me plaît pas, je préfère sortir rester dehors prendre du bon vent. Il y a d’autres qui ne peuvent pas rester en classe sans parler ou regarder leurs téléphones, alors les profs sont obligés de nous mettres dehors. On sort pour causer derrière la cour de l’école ou ceux qui veulentire prendre leurs balles ( cigarette et drogue ou autre stupéfiants) se retrouvent aussi dans leurs coins”, explique-t- il.
Il faut retenir que dans le lot, plusieurs élèves se livrent à la consommation des stupéfiants dans les douches ou hors de l’école. Faut- il craindre l’arrivée de la nouvelle drogue Kush qui fait assez de victime dans la cité dans les érablissements scolaire.
Paul Guilavogui 625 819 800