Rappelons-nous toujours que l’Afrique doit réussir, la Francophonie doit réussir ; notre situation actuelle n’est pas notre destination finale. Dans cette salle, avec certitude, nous serions tous vieux dans 50 ans ou d’autres dans leurs tombes déjà. D’où la question : préférons-nous, consciemment, préparer notre propre avenir que celui de nos enfants et petits enfants. Et pourtant, nous avons des ingénieurs, des savants, des chercheurs, des paysans, des médecins, des journalistes, des avocats, sur lesquels on peut compter pour construire un avenir décent de cette génération future. Il est donc urgent de consacrer une part de nos efforts à l’Afrique que l’on souhaiterait léguer à nos enfants.
Pour ma part, je fus heureux de participer au 18ème sommet de la Francophonie et au Forum économique de la francophonie. Nos valeureux talents se sont exprimés sur les sujets suivants : vers l’émergence d’un espace de libre échange francophone, levier de croissance et d’inclusion / Intégration des chaînes de valeurs et densification des échanges dans l’espace francophone / Financement de l’entreprise privée francophone : vecteur de croissance partagée, de création d’emplois et d’innovation.
– Mme. Neila Nouira Ghonji, Ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie – Tunisie
– M. Samir Saied, Ministre de l’économie et de la planification – Tunisie
– M. René Trabelsi, Ancien ministre tunisien du transport, Ministre du tourisme et de l’artisanat – Tunisie
– M. Tudor Prisecaru, Ministre de la recherche, de l’innovation et de la digitalisation – Roumanie
Etc…
NB: Avec mes prises de notes, je compte rédiger une synthèse lumineuse sur les différents intervenants des panels. Si vous êtes intéressé(s), merci ! De m’adresser votre @E-mail pour vous faire parvenir le rapport final.
Belle lecture !
Oumar BAGUISSA