Alors que le ministre de la justice promet de dissoudre les mouvements non reconnus juridiquement en Guinée, le front national pour la défense de la constitution vient de transmettre, via ses avocats, à la Cour pénale internationale une liste de 13 personnes à l’origine, selon cette plateforme de la société civile, des repressions meurtrières et violations des droits de l’homme lors de son appel à manifester le 28 juillet dernier. Une liste dans la quelle se trouve les noms de plusieurs dignitaires du pouvoir de la transition, notamment Colonel Mamadi Doumbouya.