« A notre retour en Guinée après l’exil, nous avons eu une rencontre avec le CNRD qui nous a convoqués. C’était en fin septembre, trois jours avant cette mission (la mission des responsables du FNDC à l’étranger). Nous avons été envoyés dans une salle où nous étions entourés par dix (10) membres des forces spéciales encagoulés avec des armes. Nous étions quatre, Foninké Menguè, Sékou Koundouno, Abdourahmane Sano et moi (…). Par la suite, tous les membres du CNRD sont rentrés dans la salle à l’exception du président qui était attendu. Après, ils sont ressortis en demandant à quelqu’un de venir nous chercher. Ils nous ont conduits dans une salle à la présidence », Ibrahima Diallo